"Il y a eu beaucoup de conflits sur les rythmes scolaires ou d'autres sujets, alors même que par exemple sur les rythmes, la droite avait préparé" la réforme, a déclaré M. Peillon sur RTL, précisant que "les parlementaires de droite venaient (le) voir en disant :+c'est exactement ce qu'il faut faire+".
"Je suis allé vite, c'est vrai, j'ai fait plus de réformes en 22 mois qu'il n'y en a jamais eu dans l'Education nationale, parce que je pensais qu'il fallait +cranter+ ces réformes de fond (rythmes, formation des professeurs, nouveaux programmes, numérique, NDLR) pour réussir le Pisa français", a-t-il poursuivi, en référence à l'enquête de l'OCDE sur le niveau des élèves.
Relancé sur son départ du gouvernement, M. Peillon a reconnu qu'il n'avait pas été décidé "dans ces termes-là: la responsabilité politique n'est pas celle-là, j'avais envisagé un autre moment", mais a aussi affirmé avoir voulu "se consacrer à la campagne européenne".
"Je suis content des orientations décidées par Benoît Hamon, par exemple les postes maintenus, et du travail qu'a effectué celui qui m'a succédé qui a pris conscience de la nécessité de défendre l'école dans un monde qui ne comprend pas toujours ses valeurs", a-t-il indiqué.
"Je suis allé vite, c'est vrai, j'ai fait plus de réformes en 22 mois qu'il n'y en a jamais eu dans l'Education nationale, parce que je pensais qu'il fallait +cranter+ ces réformes de fond (rythmes, formation des professeurs, nouveaux programmes, numérique, NDLR) pour réussir le Pisa français", a-t-il poursuivi, en référence à l'enquête de l'OCDE sur le niveau des élèves.
Relancé sur son départ du gouvernement, M. Peillon a reconnu qu'il n'avait pas été décidé "dans ces termes-là: la responsabilité politique n'est pas celle-là, j'avais envisagé un autre moment", mais a aussi affirmé avoir voulu "se consacrer à la campagne européenne".
"Je suis content des orientations décidées par Benoît Hamon, par exemple les postes maintenus, et du travail qu'a effectué celui qui m'a succédé qui a pris conscience de la nécessité de défendre l'école dans un monde qui ne comprend pas toujours ses valeurs", a-t-il indiqué.